
Le Franco-Centre, reconnaissant de ses bénévoles
La Semaine nationale de l’action bénévole se tenait du 14 au 20 avril 2024. Comme pour plusieurs autres organisations du Nunavut, l’implication de bénévoles pour le Franco-Centre s’avère essentielle.
La Semaine nationale de l’action bénévole se tenait du 14 au 20 avril 2024. Comme pour plusieurs autres organisations du Nunavut, l’implication de bénévoles pour le Franco-Centre s’avère essentielle.
Il est loin le jour où le Nunavut sera en pénurie de roche! Est-ce parce que nous en sommes entourés et qu’elles composent l’essentiel de notre paysage désertique que nous y portons si peu attention?
Un Acadien et une Franco-Manitobaine entrent dans un bar franco-nunavois… Est-ce le début d’une blague trop nichée pour la moyenne des ours?
Chaque année, depuis 1970, le Programme de stage parlementaire (PSP) accueille un groupe de jeunes professionnels sur la Colline du Parlement.
Dans le documentaire Le dernier Canadien français, Pascal Justin Boyer s’interroge sur l’identité francophone. Québécois de naissance, Franco-Ontarien d’adoption, le comédien parcourt le pays à la rencontre de celles et ceux qui composent la francophonie canadienne d’aujourd’hui et de demain.
L’Association franco-yukonnaise (AFY), en collaboration avec l’Association francophone du Nunavut (AFN) et le Collège Nordique francophone des Territoires du Nord-Ouest (CNF), souhaite créer une entité de gouvernance panterritoriale pour offrir une éducation postsecondaire en français au Yukon, au Nunavut et aux Territoires du Nord-Ouest (TNO).
Marc-Antoine Joly et Nicholas Monette, animateurs du podcast « De quoi tu parles de ? », ont profité de leur récent séjour à Iqaluit pour aller à la rencontre de quatre francophones d’ici.
Cinq jeunes Iqalummiut ainsi que leurs deux accompagnateurs ont été reçus le mois dernier par le Club Skinouk de Gatineau où ils ont vécu une expérience enrichissante tant du point de vue sportif que culturel et humain.
La croyance qu’il existe un accent parfait peut nuire au développement de l’identité linguistique, souligne Annette Boudreau dans son dernier livre. Selon la sociolinguiste acadienne, les commentaires négatifs peuvent décourager une personne d’utiliser le français.
Quand on écrit pour Le Nunavoix, au niveau des nouvelles communautaires, les propositions de sujets vont et viennent au gré des découvertes de notre réseau professionnel ou amical.