Au Canada, le pays se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde. Particulièrement touché, le Nord connait des événements de plus en plus fréquents et intenses.

Deux cas de sous-type H5 du virus de la grippe aviaire au Nunavut ont été recensés en juin et en octobre. La surveillance se poursuit, même si l’inquiétude n’est pas de rigueur.

Dans le plus à l’Est des villages du Nunavik, beaucoup s’étonneront devant une serre produisant carottes, épinards ou tomates; un terreau que laboure James Stewart, établi au Nord depuis 45 ans.

Dans certaines communautés du territoire, les ours polaires se déplacent à proximité ou à travers la collectivité à certaines périodes de l’année, et de plus en plus fréquemment.

L’entreprise Agnico Eagle se doit de développer un programme de surveillance des mollusques. Une première rencontre communautaire a eu lieu le 15 novembre dernier dans l’objectif de sa mise en place.

Alors que le fédéral annonce une ronde de financement pour son Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord, un chercheur se penche sur l’impact des nanoparticules dans l’alimentation.